Kuja [Karnak]

HRP:

Age: 19 ans
Comment avez vous connu AR ? Bleach Ultimate - Kagura Yôichi

RP:

Nom: Je n’aime pas vraiment ce nom, enfin c’est pas que je ne l’aime pas, disons plutôt que lui ne m’aime pas vraiment, du moins ceux qui le portent, ce nom est D’ji…

Prénom: Je m’appelle Kuja, fils de Najah et Edya D’ji.

Age: 20 années écoulées.

Culture: Karnak

Votre personnage possède t-il son propre vaisseau ? Je ne vois pas vraiment l’intérêt, à moins d’engager des personnes sachant le diriger, car moi je tire point, ça ne va pas plus loin.


Profession: Canonnier, ouai je dirais bien ça, parce que ça fait assez classe, mais c’est pas vraiment mon rôle. Non moi je fabrique j’utilise, je tire, et des fois je tue. J’ai une manière spéciale de fabriquer armes et balles, car bien sur les armes à feu me passionnent ! Mais j’aime aussi le reste, du moment qu’il y a du métal, un peu de courant et d’Artefact ! Donc je me défini plutôt par le thème d’Artificier Mécanicien.

Armes: Je n’ai qu’une arme, celle dont j’ai passé l’enfance à façonner son utilité, la création ultime dont le talent de Najah à su m‘imprégner pour créer Machina…

- Arme 1 : Machina (Mode Arme à feu) [Arme à Distance - Perçante]

Spoiler:

Première déclinaison de Machina, et ma préférée, c’est-à-dire le pistolet. C’est d’ailleurs ça forme originelle, sauf lorsqu’il m’est impossible de la ranger lors de certains voyage, auquel cas je la replie ce qui, je vous l’avoue, assez pratique. Sa forme est très fine, mais elle est pourtant très rigide, les matériaux utilisés ont sans cesse étés renforcés, et sa petite taille permet de la passer inaperçue très facilement. Les balles que j’utilise sont constituée à trente cinq pourcent d’Artefact, et pour obtenir ceci, une pierre magique de la taille d’un gravier suffit à forger au moins cinq balle, le reste étant un alliage de différents métaux. La poudre est un héritage appris de feu mon père, Najah D’ji le seul homme que je respecte avec autant d’honneur, qu’il m’a enseigné au même titre que la fabrication d’une arme utilisant cette même poudre.

- Arme 2 : Machina (Mode Poing) [Arme de Corps à Corps - Contendante]

Spoiler:

Deuxième déclinaison de Machina, elle n’est pas certes la plus perfectionnée des deux, mais elle est toujours utile, idéale pour ressentir encore plus les coups de poing. La forme repliée de Machina, dont la combinaison peu paraître assez étrange, s’adapte parfaitement à ma main, la crosse étant l’arme, et le barillet servant d’appui contre ma paume, au moins je n’ai aucun risque de me blesser en frappant, même de toutes mes forces.

Comment parait votre personnage la première fois qu'on le rencontre ?

Qui mieux qu’une mère pourrait parler de son propre enfant ?




Hum… Passons…

Histoire:

- Kujaaa !

Ça, c’est mauvais, croyez moi, quand la cruche qui me sert d’hébergeuse commence à crier mon nom… Non pas que je n’aime pas que l’on le fasse non, mais quand c’est elle, c’est que j’ai encore fait une connerie, et que donc je vais en prendre pour mon grade, alala… Bon allez, je m’avance vers elle, je ne sais pas trop où elle est, elle à une telle voix que c’est impossible de savoir d’où ça vient, en tout cas je me demande bien ce que j’ai fait. Ah la voilà ! Oula, j’aime pas quand ses petits yeux deviennent tout noirs, ça fous la trouille sérieux.

- C’est quoi ça !?
- Hum… Quoi ? Où ? Comment ? Y’a rien là…
- Attends, attends, je vais te montrer moi, tu va voir si y’a rien !

J’aimait pas vraiment quand elle me choppait la tête par derrière, non seulement parce qu’elle avait beaucoup de force, mais aussi parce qu’en général, c’est que j’allait me prendre un truc en plein visage. Comme prévu, elle m’a collé la tronche contre un mur, et je peux vous assurer que c’est toujours mieux qu’une poêle, elle me montre le mur, mais je vois toujours rien.

- Je vois rien moi…
- Là ! Regarde ! Tu m’as encore fais un trou dans le mur !
- Ah… Mais il est tout petit…

Bah, j’avais du tirer dans le mur en trafiquant Machina, faut dire que c‘est assez silencieux quand elle tire, ou bien que j‘y suis trop habitué. Je crois que sur cette phrase j’ai signé mon testament et la fin de ma vie… Haha.

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Il faisait un peu chaud, ça me plaisait pas trop, mais bon toujours moins chaud qu’a la maison, enfin je suis pas sur de pouvoir encore appeler les Terres Brûlées ma maison, en tout cas je réalisait un peu un rêve d’enfant, oui parce qu’ils avaient eu la gentillesse de me laisser choisir la destination pour quitter mes racines. Jakka ne parlait pas trop, enfin c’est moi qui ne parlais pas, aucune envie de parler, mon père est mort et par ma faute en plus, bref… On s’approchait des Terres d’Orient, je passait une dernière fois ma main dans les nuage, il faut dire que c’était pas une grosse embarcation, mais bon je m’en foutait. Après quelques minutes, il me déposa dans un port assez miteux, j’ai pas mit longtemps pour sortir de son bateau.

- Bah… Merci, c’est vraiment gentil à toi, j’espère que ton retour ce passera aussi bien que ce voyage Jakka.
- Bouwahawa. C’est juste ma fonction t’sais mon p’tit.

Je ne mis pas longtemps pour me retourner, en lui faisant un petit signe de la main, histoire de ne pas faire trop impoli. J’avançait dans les ruelles, j’était au cœur de mes envies, les terres d’orient, là ou la femme est toute puissante et…

- Petit salopard ! Comment t’as pu oser faire ça ! Dégage d’ici !

Là en faite, je venait de me faire bousculer, et même écraser par un type, qu’une femme venait de jeter en dehors d’une petite cabane, elle avait des yeux noirs, et était vachement en colère, le type ne mit pas longtemps pour ce relever et partir en courant. Ma chance légendaire avait de nouveau surgi, je venais de me faire écraser, et une femme au regard pétrifiant me fixait, et je ne sais pas pourquoi je sentais que… j’allais bien en baver.

- Hum… Excuse moi, je ne voulait pas te faire de mal, mais ce petit con ma touché les fesses, il va certainement se faire couper les mains… Enfin bref, je suis Keriin, viens boire un petit truc, en dédommagement.

Elle me tendit une main, assez chaleureusement, ses yeux noirs avaient laissé place à de belles pupilles vertes, tel une émeraude, elle n’était pas très grande mais elle était jolie. Ok je m’était fait renversé par un type, mais c’était pas là peine de m’inviter à boire un coup quoi, enfin je m’en plains pas, et puis je ne peux pas refuser une telle chose à une femme Raïken, surtout quand je viens de la voir éclater un pauvre mec.

- Allez dépêche toi ! Ralala les hommes… Dis mois comment tu t’appelle tiens !
- Euh… Kuja…

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- Kuja ne t’inquiète pas.

Il avait se sourire chaleureux, bien que j’était empli de peur, il savait comment me rassurer, j’avais un pleine confiance en lui, son talent n’avait aucun égal à mes yeux, qui d’ailleurs avaient étés façonnés par lui. Mon père était tout simplement un Héros, ou plutôt le mien, tout ce qu’il touchait devenait intéressant. Je regardait mon bras gauche, puis mon regard se déporta su mon coude, pour finir lentement sur mon avant bras, mes yeux étant fixé sur la fin de celui-ci, un moignon. Un souvenir d’enfance, vive le souvenir me direz-vous, je jouait dans les extérieur du petit village ou j’habitait, j’avais un bâton dans les mains et je tapait des arbustes morts, j’était heureux. Il a fallut que je tombe sur un pillard, ou un mendiant je me souviens plus trop, il voulait mon petit pain que je mangeait et ma bourse, je l’avais tapé et… il me coupa la main… Mon père ne mit pas longtemps à arriver et à tuer de sang froid l’homme qui était en train de me tabasser tout simplement. Bref, j’ai vaguement repensé à ça au moment ou je regardait l’endroit ou ma main était sensée être.

- Père je…
- Kuja… n’es pas peur, tu verras, ta vie sera beaucoup mieux, et tu n’auras plus besoin d’injection. Bien que je pense que tu gardera tes yeux comme ils sont actuellement.
- Ce n’est pas grave, je les aiment bien vous savez.
- Quand arrêtera tu de me vouvoyer idiot ?

Je n’ai plus parlé après, même si la réponse aurait été jamais. Après ça, il ma disons opéré pour poser ma main, enfin sa main enfin la main mécanique qu’il m’avait fabriqué, et qui marchait avec un artefact, un vrai travail d’orfèvre.

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- Allez viens ! Ne m’oblige pas à…
- C’est bon c’est bon ! Ok !
- Pfff ! Genre que ça te dérange ! T’as pas de maison, t’es un clodo tu sais ?
- Hey ! Mais !
- Non pas de mais ! Tu te tais et tu viens, tu verra se sera bien, t’aura pas trop de travail à la maison.
- Je… Merci Keriin…

Bon après ça on a voyagé, elle avait un bateau, elle m’a dit cadeau de son père, enfin bref c’était bien, elle était gentille, je l’apprécie vraiment. On est allé à la Baronnie vue que c’est là qu’elle habite, enfaîte elle était venue voir ses parents au Bastion de Jade, sa terre natale. La Baronnie, j’en ai entendu parler vaguement, Keriin me dit qu’elle y vend des légumes, et qu’elle a dans l’idée de faire des plats préparés, avec une machine… Vous voyez où je veux en venir ? En tout cas elle n’a pas mit longtemps pour nous ramener à ça maison, son navire céleste est beaucoup mieux que celui du vieux Jakka.

On est arrivé chez elle deux jours plus tard, et à vrai dire ça me plaisait beaucoup. Elle avait prévu une chambrette à part, pour els invités, sauf que j’allais rester longtemps je pense. Elle avait une tonne de vieux machins, bouts de métaux et autres babioles dans une pièce de sa maison, que j’ai demandé à réquisitionner et qui m’a coûté quelques jours de ménages et faire les marcher… mais j’ai eu mon petit coin de travail ! Hé hé, j’était assez fier, et même si la qualité n’était pas au rendez-vous, mais j’avait de quoi m’amuser.

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- Votre sort a été jeté, la sentence tombera cet après midi, à vous comme à votre fils.

Je regardais mon père, tombant à genou, je crois même qu’il pleurait, ou plutôt qu’il faisait couler des larmes. Il m’attrapa la main et me serra contre lui, ça y est je venais de comprendre que, nous allions mourir… Ils disaient tous, enfin les hautes instances plutôt disaient que ce qu’il avait fait était inhumain et atroce, alors qu’il voulait juste me sauver et améliorer ma vie, je ne comprends pas pourquoi il devait mourir, et moi aussi.

- Quel est le verdict ?
- Monsieur D’ji Najah sera utilisé comme cobaye durant une journée, puis exécuté. Quant à son immonde création, il sera exilé et interdit de séjour sur les terres brûlées à jamais.
- Bien… Au moins tu vas vivre Kuja…
- Mais ! Non ! Il m’a juste sauvé la vie ! Pourquoi doit-il mourir ! Je ne…
- Tais-toi ! Insolant ! Tu n’es qu’une putride et hideuse création ! Estime toi heureux de ne pas être torturé et exécuté comme un monstre ! Tes gênes modifiées à l’artefact liquéfié font honte à notre nation.
- Mais il m’a sauvé la vie !
- Cet après midi, tu ne sera plus là, personne dans toute les Terres Brûlées ne sera au courant de ces atrocités, vous serais considéré comme partis en voyage.
- C’est bien mieux ainsi…

Il souriait, moi je ne pleurais pas, disons que je ne peux pas pleurer, ce qui coule dans mes veines m’en empêche. Nous passâmes la fin de la matinée à discuter, comme un père un fils, sans que je le tutoie une seule fois. Il me donna quelques conseils et un morceau de papier qui allait me servir pour vivre. Des instructions mécaniques entre autre, il était heureux que je puisse vivre, et moi triste qu’il meure. Que vous me croyait ou pas, ces quelques heureux furent les meilleures de ma vie, et en même temps les pires…

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- Je réparerai ça promis mais… laisse ma tête tranquille.

Elle me relâchait enfin, je respire enfin, même si une claque sur l’arrière de ma tête ne mit pas longtemps à se faire sentir, elle criait, certainement des choses comme « Y a intérêt ! » et moi je la regardais en souriant, elle était vraiment jolie quand elle était en colère. Elle partie en claquant la frêle porte qui était derrière elle, moi je commençait à boucher trou, en essayant de récupérer le projectile, précieux à mes yeux.

C’est ainsi que je me retrouve encore dans mon laboratoire, oui ce nom est plutôt classe. Je répare une arme en se moment même, elle est moche certes, mais c’est mon métier, je fabrique, répare tire, et des fois je tue. Je suis Kuja, je n’est aucun nom, si ce n’est celui que mon père m’a donné, je suis une personne normal vivant avec une main mécanique et bruyante, avec pour survire, de l’Artefact liquéfié dans mes veines rendant mes yeux d’un bleu puissant et brillant. Je suis juste une partie de ce monde, encore inconnu, et cachant d’innombrables mystère.

Je suis juste moi…

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