Ragnarok: Deuxième Chapitre

Enfin, je me trouvais dans la cité qui constituait le premier arrêt de mon voyage, qui constituerait mon premier livre. J'imaginais déjà l'aspect matériel du livre, une couverture épaisse en cuir, donnant l'impression d'un journal de bord. Récits De Voyage, tel serait son nom. J'y retranscrirait tout ce que j'avais vu, pour que tous connaissent Syren dans ses moindres recoins.Enfin, pour que je puisse écrire ce roman, et ainsi lancé ma carrière d'écrivain, je devais explorer ces contrés. Je sortit donc de mes rêveries et observa plutôt cette cité grandiose, l'activitée qui s'effectuait ici me rapellait Aphelion. Il y avait de grandes statues qui formaient, comme l'écrivait le capitaine de navire Valkor Jörmungand, une haie d'honneur m'acceuillant dignement dans la cité.Une ambiance festive reignait à travers les rues, et je ne pus que sourire à la vue de cela. Après avoir passé trois jours sur les plaines peu accueillant du royaume valkor, je retrouvais enfin un peu la civilisation. Enfin, je n'oubliais pas les triste stéréotypes à propos des Valkors, une bande de barbare sauvage et sans éducation...Enfin, pour le prochain chapitre, je vais explorer cette grandiose cité, tout en essayant d'en découvrir le plus possible sur ces Valkors...

Ragnarok, Deuxième Chapitre, Récits De Voyage, Tome Un

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Je me baladais donc toujours dans la cité, j'avais mon carnet en main et je prenais des notes diverse concernant ces lieux, peut-être pour les utiliser plus tard... Car bien que mon objectif était d'écrire un livre racontant mes péripéties à travers ce monde. J'avais en tête d'écrire une sorte de livre d'histoire, ou quelque chose dans ce genre.Bref, j'avais beaucoup de projets pour mon avenir. Je me faufilais donc à travers la foule qui était plutôt dense. Bien que le temps soit à la fête, je ne crut pas déceler d'apparente trace d epauvreté, ce quartier me semblait plutôt être le centre de la ville, c'est-à-dire, un quartier ou riches marchands, et artisans moins fortunés se cotoient, et trouvant leur place dans le milieu de la pyramide hiérarchique sociale. Enfin, passons à autres choses. L'architecture était tout simplement sublime, un vraie régal pour les yeux. Concernant la température, le soleil n'était pas parti se cacher derrière les nombreux nuages et éclairait la ville de ses chauds rayons...J'arrivai finalement à me dégager de cet endroit plutôt achanlandé où s'était regroupé les fêtards.Je pouvais enfin me détendre réellement et admirer Ragnarok dans toute sa splendeur... Je continuais à marcher, scrutant minitieusement chaque détail, pour retranscrire le mieux possible, l'ambiance qui regnait dans les rues de la cité, les effluves qui me parvenaient au nez, et cette foule de détail qui rendait ce paysage urbain magnifique.Après avoir longuement exploré la cité, et bien que je n'avais vu qu'une infime partie de celle-ci, je relevai la tête de mon petit carnet, et le rangea dans mon sac de jute. Puis, je réalisai que je m'étais perdu! Effectivement, je n'avais pas pris soin de ne pas m'éloigner du centre-ville, et j'en payais maintenant les conséquences. Je devais retrouver mon chemin. Si je voulais avoir le temps de me trouver une petite chaumière qui voudrait bien m'acceuillir, je devais me dépêcher.J'errai donc, m'enfonçant de plus en plus profondément dans les entrailles de la ville. Plus j'avançais, plus je découvrais la face cachée de cette cité, des quartiers sales, où les gens vivent par terre et agonisent, maudissant le destin de s'être retrouver ainsi à la rue. Je sentais qu'un tel quartier n'était pas approprié pour un enfant de bonne famille tel que moi. Car bien que j'eus été habillé comme l'un de ces mendiants, mes manières élaborées auraient tôt faits de me trahir. Je n'avais jamais été confronté à un tel problème, car bien qu'à Aphelion il y avait de la pauvreté, jamais je n'en avais eu vent, grâce aux paliers qui nous séparaient. Je dois aussi avouer que je n'avais connus ce fait qu'à travers les livres, car enfant mes parents ne m'en avaient jamais parlés. Ne me sentant pas en sécurité, je décidai de rebrousser chemin, préférant revenir sur mes pas, plutôt que de risquer de tomber dans une embuscade.Mais quelle ne fut pas ma surprise de voir deux énormes serpents, prêt à me déguster en apéro, en me retrournant. Sans hésiter, je pris Deimos ainsi qu'une flèche, et le banda, maintenant en joue l'une des deux créatures. Il est évident que j'aurais pus déguerpir, laissant les pauvres malheureux qui se tenaient allongés par terre en pâture aux deux reptiles, mais je ne pouvais me résoudre à cela.Soudain, l'un des mes adversaires avança. Sans lui laisser le temps de se rendre jusqu'à moi, je lui tirai un trait qui alla se ficher directement dans sa geule, lui la clouant par le fait même. Profitant de cela, je lui tirai aussitôt une autre flèche combinée avec le mana. Ce dernier tir l'acheva. Mais je n'en avais pas finis pour autant avec son comparse. Celui-ci profitait du fait que j'eus reportés mon attention sur l'autre serpent pour m'attaquer. Mais je vis venir le coup, banda mon arc, et attendit...J'attendit jusqu'à la dernière minute, celle où je ne pouvais échouer, pour lâche l'empenne. Et je fit mouche! Le serpent s'écroula par terre, inanimé. Voyant que je m'étais débarrasser de mes deux adversaires, je pris mes jambes à mon coup, ne voulant pas me faire attaquer par d'autres abominations dans ce genre.Je retrouvai rapidement mon chemin, et en quelques dizaines de minutes à courir, j'étais de retour à mon point de départ.Je devais maintenant trouver le gîte et le couvert pour la nuit...

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Ce n'était pas très grave, bien que j'avais perdus beaucoup de temps lors de mon combat contre les deux énormes serpents, je ne m'inquietais pas avec cela.Je trouverais bien quelqu'un qui aurait la bontée de m'héberger.Je me trouvais donc dans ce quartier modique, sans plus ni moins.Les célébrations s'étaient considérablement amoindries, et la foule s'était dissipée.J'en profitai donc pour regarder à nouveaux ces lieux, que je n'avais pas eu le temps d'examiner à cause des fêtards.Je remarquai donc une taverne à l'air chaleureux, et j'y entrai. Je n'étais pas aller souvent dans ce genre d'endroits, car ils ne me plaisaient guère, et ce n'était pas dans mon éducation que de fréquenter ces lieux sordides. Mais bon, il faudrait que je mis fasse, lorsque l'on veut apprendre des informations, il faut aller dans ce type d'établissement.J'ouvris donc la porte, et pénétra dans la taverne, les effluves de boisson à base de houblon et des différents mets, peu raffinés, m'assaillant l'odorat.J'examinai la clientèle, et aucune personne ne me semblait amicale, je vit finalement un vieux valkorà la barbe blanche,dans un coin de la taverne et j'allai m'asseoir avec lui. Il sembla ravis qu'un étranger vienne s'asseoir à sa table, et nous commanda à boire...Bien que mon éducation ne m'avait pas habitué à de folles soirés de débauche, je me permis tout de même de prendre un verre...

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Le vieux Valkor était très gentil, nous discutâmes longtemps, à propos de plusieurs choses, notamment de ce félin à la fourure blanche, que j'avais rencontré. Mon interlocuteur m'apprit qu'il s'agissait d'un Singam-Vellai, une race de lion à la fourrure blanche, bipède, possédant la faculté hors du commun de maîriser le language humain à la perfection.Il m'en apprit aussi plus sur l'histoire de Ragnarok, sur la culture Valkor, et sur une foule d'autres choses. Je me gorgeais de ses paroles, l'écoutant parler une bonne partie de la soirée et de la nuît.Puis, après m'avoir délivré une bonne partie de ses connaissances, il s'excusa, et voulu rentrer chez lui. Je lui demandai donc polliment s'il voulait me laisser dormir chez lui pour une petite nuit.Il accepta, mais en échange, je devais lui rendre un service.J'acceptai donc, ne voulant en rien au monde manquer la chance de cohabiter avec un tel érudit.La tâche qu'il me demandait d'accomplir était périlleuse, mais je savais que je pouvais l'accomplir. En fait, il me demandait de lui rapporter la fourure de deux Singam-Vellai. Comme j'en avais déjà une en ma possession, je décidai donc de lui la donner, ainsi j'avais déjà la moitié de ma tâche d'accomplie.Le vieil homme me proposa de coucher chez lui pour le reste d ela nuit, et d'accomplir mon devoir le lendemain. Mais mes valeurs ne me permettaient pas de profités de quelques choses que je n'avais pas encore mérité.Je partis donc de la taverne prêt à aller accomplir ma tâche. Je sortis de l'enceinte de Ragnarok à la recherche de cette race de lion.Puisque je me trouvais dehors, je pus remarqué, en voyant le soleil se lever à l'horizon, que nous avions discuter toute la nuit.Je continuais à marcher, Deimos en main, afin de trouver la requête du vieil homme. Malheureusement, je marchais depuis bientôt deux heures, et toujours aucune traces d'un quelconque animal...Peut-être que de tuer un animal pour sa fourure n'était pas un acte très noble, et que je devrais plutôt les laisser tranquille, et rentrer penaud à Ragnarok...Mais de cette façon, toute les richesse culturelles que possédait le Valkor ne me serait jamais transmises...Guidé par l'envie, je continuai donc d'arpenter les terres Valkors, pour dénicher un de ces félins...Soudain, au loin, je crus distinguer une forme qui se mouvait dans la neige, ce n'était pas facile à distinguer, puisque l'animal était blanc...Blanc! Enfin, j'en avais trouvé un.Je m'approchai donc silencieusement, en essayant de ne pas me faire repérer...aussi bien essayé de marcher sur des oeufs sans les casser...Le lion se retourna dans ma direction après avoir humé l'air, et chargea...Je bandai mon arc et laissai partir un trait qui passa à coté de ma cible.Considérant le fait que je n'avais pas beaucoup de temps avant d'être obligé d'engagé le combat au corps-à corps, je prit cette fois deux flèches, et les impregna de mana, avant de les laisser filer....Heureusement pour moi, elles partirent se ficher dans la gorge du lion. Celui-ci mourru sur le champs, et sans douleur apparente. Je me dépêcha de le dépecer, et de lui enlever sa fourure. Par contre, ce que je n'avais pas pris le temps de regarder, c'est si le Singam-Vellai avait un copain ave lui, et malheureusement pour il en avait un...Celui-ci se jeta sur moi, toutes griffes dehors, mettant en lambeau mes habits ainsi que ma chaire.Je réussis finalement à m'en sortir, en le repoussant et en déguerpissant avec la fourure de son ami entre les mains.Le lion ne prit pas la peine de me poursuivre, pleurant plutôt la mort de son comptriote. De mon coté, je revins à Ragnarok troublé, bien que j'avais accompli ce que je devais faire pour posséder une plus grande connaissance, j'avais tuer une inocente créature....Je n'étais pas très fier de moi... Enfin, j'allai à l'adresse que le valkor m'avait donné, et lui remis les fourures, j'entrai ensuite dans sa chaumière pour me reposer de tous ces efforts...

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