Kaïtos ( Raïken)

Age: 18
Comment avez vous connu AR ? J’ai connu AR grâce à BU ( Bathier Aronagann)


Prénom: Kaïtos.
Age: 21
Culture: Raïken.
Profession: Recenseur céleste ( Kaïtos recense dans son journal le plus de créatures célestes possible, enfin toutes les créatures célestes qu’il rencontre. )
Armes: Arme principale : C’est un magnifique revolver à trois canons que son possesseur a nommé Bahamut en référence à la créature elle-même ( cf. l’histoire), c’est une arme à distance ( portée de 3 à 6 mètres), ses dégâts infligent des blessures perçantes. Kaïtos utilise cette arme presque tout le temps car elle a prouvé son efficacité mainte fois par le passé.
Image de Bahamut :


Arme secondaire : C’est un brassard ganté, c’est à dire que c’est la réunion d’un brassard de métal couvrant l’avant bras avec un gant aussi en métal se terminant par des griffes très tranchantes. Son nom est Ifrit et il inflige des dégâts tranchants ( portée de 0 à 1 mètre). Cette arme sert d’arme de secours quand Kaïtos à un ennemi qui est au corps à corps. Une image de cette arme serait sans doute plus parlante.
Image de Ifrit:

Comment parait votre personnage la première fois qu'on le rencontre ?

A première vue, Kaïtos apparaît comme un personnage froid, mystérieux, distant, voir peu sociable. Cette description en dit long sur son physique. Kaïtos est un Raïken de taille moyenne, grande pour certains ( environ 1m85 pour 75 kilos), il a des cheveux noirs d’une bonne longueur et porte un bandeau rouge bordeaux qui recouvre son front, de la même couleur il porte une cape longue qui se termine par des estafilades car elle est abîmée par le temps. A par ce rouge qui donne un peu de vie à ce personnage, il est presque totalement vêtu de noir excepté son Ifrit, son arme de corps à corps qui est de la même couleur que ses bottes métalliques, couleur or en l’occurrence. Ses autres vêtements noirs avec quelques touches métalliques ( comme sa ceinture) combinés avec les autres éléments de sa tenue en font un être unique du point de vue de l’apparence physique du moins.
Allure de Kaïtos:


En fait quand on le voit arriver devant soit avec son revolver dans sa main droite et les griffes de sa main gauches, certaines personnes tournent souvent 7 fois leur langue dans leur bouche avant de lui adresser la parole, cette attitude amuse d’ailleurs fortement Kaïtos qui prend un malin plaisir à effrayer certaines personnes qui en font trop par leurs formules de politesse trop pompeuses. De plus comme la majorité des Raïkens il effectue tous ses gestes avec une élégance et une fluidité qui permet un grand sens du touché et un sens accru de la précision dans les gestes ce qui facilite grandement les combats, d’où le choix du revolver en arme principale.

Sa mentalité ne s’apparente pas vraiment à ce que l’on pourrait s’attendre de prime à bord, en effet Kaïtos de par sa culture de Raïken est un homme ou le sens de l’honneur est très important, pour ce qui est des combats ou tout simplement lors de discussion. En plus de son honneur il reste très poli en toutes circonstances même s’il est hors de lui, cette caractéristique le rend très fréquentable bien que difficile à cerner. De plus il ne supporte pas de voir des forts s’en prendre à des faibles, c’est pour lui un manque d’honneur impardonnable et de ce fait punissable même si ce n’est pas à lui de le faire. Malgré cette personnalité assez ferme c’est en fait une personne très gentille qui adore rigoler et s’amuser.

Introduction :


Kaïtos est né en l’an 176 après l’union sur l’une des nombreuses îles célestes du fabuleux Archipel des Cerisiers, étant un garçon de famille non noble Kaïtos ne reçu qu’un prénom mais de cela il s’en fichait pas mal. Dès l’enfance il est bercé par la culture stricte des Raïkens, il apprend à se battre dès son plus jeune âge, on lui apprend à être polyvalent dans les armes quelles qu’elles soient, Kaïtos remarque tout de suite qu’il a une préférence avec le maniement de l’arme à feu que ses maîtres d’armes lui déconseillent car ce type d’arme n’est pas celui qui est encouragé par son peuple du fait que ce n’est pas une arme honorable, pour eux tuer quelqu’un avec un revolver ne vaut pas un combat au sabre. Kaïtos se fiche des recommandations de ses mentors pour ce qui est des armes à feu car il développe un talent impressionnant pour la visée, en effet on pourrait le qualifier de tireur d’élite. Il développe rapidement une autre aptitude au combat pour compenser sa maîtrise de l’arme à feu, c’est le combat au corps à corps, cette fois ses mentors l’encourage à progresser dans cette maîtrise du combat car elle est soit disant plus honorable que les armes à feu. Ainsi Kaïtos passa (comme tous les jeunes de son âge ) une bonne partie de son enfance et de son adolescence à s’entraîner au combat et avoir une bonne connaissance en philosophie et en culture du monde de Syren. La notion d’honneur est inculquée aussi dès son enfance afin qu’il apprenne à bien se comporter en toutes circonstances. Au cours de son enfance Kaïtos découvre qu’il est passionné par les créatures magnifiques qui peuplent le monde de Syren, il lit tous les livres animaliers qu’il dégote et développe une admiration pour la créature nommée Bahamut. Son rêve est de faire un livre animalier recensant tous les animaux de Syren, mais bien sur le clou de sa collection serait de pouvoir ajouter le Bahamut. Avec les années il devient un jeune homme très poli et possédant un grand sens de l’élégance et de la précision de ses mouvements. Malgré tout un seul défaut demeurait, son arrogance.

[ A partir de ce moment la le point de vue est à la première personne, le « je » c’est Kaïtos bien sur ]

L’entrée dans l’âge adulte :

A l’âge de 18 ans je décidais de partir au Bastion de Jade afin de bouter ces êtres infâmes de Terkals. Avant de partir j’avais fait fabriquer sur mesure par le meilleur forgeron de l’île un brassard ganté de combat afin que je puisse exploiter au maximum mes techniques de combat au corps à corps, ce gant d’une solidité à toute épreuve était un alliage de métal et de la matière de petits artefacts, cette matière rendait cet outil étonnement plus résistant et tranchant tout en gardant une certaine légèreté dans le mouvement. Cette arme d’une certaine rareté car très peu utilisée voir pas utilisée convenait parfaitement a mon style. Le coût de la fabrication de cette arme avait été payé par mes parents afin que je ne me fasse pas tuer dès mon premier combat contre les Terkals. J’avais nommé cette arme Ifrit, ce nom correspondait à une créature des temps anciens, les créatures de Syren m’avaient toujours impressionnées par leurs prestances ou leurs différentes beautés. C’est d’ailleurs de la que m’ais venus cette passion des créatures et des animaux peuplant le monde, et c’est pour cela que je veux recenser toutes les créatures de Syren.

Contre l’avis de plusieurs de mes connaissances j’avais décidé d’exploiter mon talent dans l’utilisation des armes à feu pour les combats même si certains désapprouvent, ainsi mes parents qui voulaient que je me sente le mieux possible m’ont fait la surprise de me faire fabriquer un magnifique revolver à trois canons. Connaissant ma passion pour le Bahamut, ils avaient fait sculpter au bout de chaque canon une tête de cet animal majestueux, ce présent me remplissait de fierté et je remerciais mes parents du mieux que je le pouvais et leur promettais de ne pas les décevoir. Je découvris que ce revolver possédait 2 fonction, la première était basique et permettait de tirer une balle à la fois alors que la seconde permettait de tirer trois balles en même temps, en l’essayant je remarquais qu’il était d’une facture exceptionnelle et que les triples tirs et les tirs simples étaient forts biens ajustés, une arme de grande valeur que je garderais longtemps en conséquence. J’étais fin prêt pour le combat.

Je pris donc une embarcation de marchands peu recommandables afin d’atteindre l’île ou tout se passait, l’île ou la guerre faisait rage, le Bastion de Jade. Le voyage sur la mer de nuage ne dura seulement quelques jours à mon grand regret, en effet ces embarcations poussées par la puissance magique des artefacts et par le vent m’impressionnaient et me faisaient terriblement envie, je me mis donc en tête de posséder plus tard mon propre navire, ou du moins faire partie d’un équipage, comme ça je pourrais explorer les différentes mers de Syren et compléter mon recueil animalier. Je débarquais sur l’île de Jade avec une certaine appréhension car j’intégrais le corps de l’armée, mais j’étais aussi très excité de prouver ma valeur au combat et montrer mon habileté au tir. Malheureusement, les armes à feus étaient fortement déconseillées dans l’armée car on disait que cette arme était des plus déshonorante, je réussi quand même à obtenir une autorisation pour le garder sur moi, mais je ne devais m’en servir que en cas d’extrême nécessité ( Exemple, j’ai pas le chois sinon je meurs). Etant nouveau je fut affilé à la section de défense du Bastion de Jade contre d’éventuelles attaques, malheureusement l’action n’était pas toujours présente et je ne pouvais pas montrer mes techniques de combat à l’arme à feu.

Erreur !:

La vie au poste auquel j’était était assez morose, en effet l’inactivité des Terkals ces temps ci ne procurait pas beaucoup d’action pour les personnes comme nous. C’est pourquoi les seuls moments d’amusement étaient le soir à la taverne de la caserne, en effet s’était le moment de boire un bon coupe de rigoler avec les camarades de l’armée. Seulement un soir ou j’avais un peu trop bu les mots sortaient trop facilement de ma bouche et c’est ici que mon arrogance naturelle m’avait fait défaut. En effet ce soir là certains de mes collègues me taquinaient en me disant que :

« De toute façon Kaïtos, même avec ton revolver tu ne ferais pas le poids en combat singulier contre l’un d’entre nous. »

« D’ailleurs même en utilisant tes armes farfelues tu ne ferais pas le poids !! » Renchérit un autre.

Ces provocations indirectes m’avaient fait dire une chose de trop :

« Vous rigolez ? Je suis largement supérieur que vous en combat singulier ! D’ailleurs je pourrais très me battre contre dix d’entre vous et vous battre les uns après les autres. »

Tous rigolèrent car ils savaient que j’étais un peu saoul à ce moment là. Seulement une oreille indiscrète avait entendu la conversation, c’était un Raïken du nom de Bakura qui avait une petite réputation dans la caserne comme celui qui provoque quelqu’un en duel pour n’importe quoi, il le faisait car il était sur de sa force, d’ailleurs beaucoup disaient qu’il était vraiment très fort en duel. De plus cette homme était quelqu’un d’habitué au combat car il était souvent en première et ligne et il possédait sa propre escouade. Il me lança alors :

« Toi ! Tu prétends être capable de gagner dix combats à la suite ? »

« Oui monsieur ! » Lui répondis-je sans hésiter.

« Soit, je te défit de gagner contre 9 de mes hommes en combat singulier, les uns après les autres. Si tu gagnes tu auras le droit de m’affronter aussi en combat singulier, et si tu gagnes, ce qui m’étonnerais, je reconnaîtrais ta valeur au combat avec ton ridicule petit revolver. »

Un de mes compagnons de beuverie me souffla alors :

« Refuses, si tu perds ce défit, la honte sera sur toi jusqu'à la fin de tes jours. »

Ses paroles étaient sages et si je n’avais pas été saoul je l’aurais sans doute écouté mais malheureusement j’étais trop saoul et trop arrogant pour refuser la première occasion d’avoir de l’action, je regardais alors Bakura et lui lança arrogamment :

« J’accepte ! »

Bakura éclata de rire d’un seul coup en entendant ma réponse, il me donna alors rendez-vous le lendemain après-midi pour le combat. Ce soir la je n’avais pas trop pris conscience de ce que j’avais fait, c’est le lendemain matin en me réveillant avec la gueule de bois que je me rendit compte de l’erreur commise. En effet le combat allait se dérouler quelques heures plus tard et si je perdais mon honneur serais mis à mal et je n’aurais plus qu’a me cacher pour le restant de ma vie couvert de honte sans pouvoir réaliser mon rêve. Sur le chemin de la cour de la caserne ( NB : Le lieu du combat ) plusieurs personnes m’avaient conseillé d’abandonner avant de commencer mais un autre m’avais appris que Bakura avait convoqué une grande partie de la caserne pour assister à la future ridiculisation. Par conséquent l’abandon était omis car le déshonneur serait bien plus grand que la défaite, de plus pendant notre éducation d’enfance on nous avait toujours dit de ne jamais abandonner quelles qu’en soit les circonstances, je n’abandonnerais donc pas et relèverais ce défit sans faillir.

Les combats :


Je débarquais dans la cours inondée de soleil et vit à mon plus grand déplaisir que une cinquantaine de Raïkens hommes et femmes avaient formé un cercle pour les combattants, les dix guerriers que je devais combattre étaient au centre et m’attendais apparemment. Je me frayais tant bien que mal un chemin à travers les gens du cercle de combat, sans réagir j’écoutais les brimades de personnes qui se moquaient de moi ou alors d’autres qui m’encourageaient. J’arrivais enfin sur l’air de combat, le silence se fit et Bakura m’adressa la parole sur un ton neutre :

« Bonjour à toi petit Kaïtos, alors je récapitule pour ceux qui veulent savoir le fin mot de l’histoire, hier tu as bien affirmé pouvoir battre 10 Raïken en combat singulier avec tes deux armes pitoyables ? »

Bakura me provoquait ouvertement pour je fasse l’erreur de me ridiculiser en me lançant sur lui tout de suite, malheureusement pour lui je ne lui ferait pas ce plaisir, alors je lui répondit sur un ton aussi neutre que le sien :

« C’est bien ça tu as tout compris. »

Des rires firent leur apparition dans l’assistance. Bakura Répliqua alors :

« Fort bien. Comme je te l’ai annoncé hier tu vas affronter 9 de mes hommes qui sont par ailleurs ravi de pouvoir t’écorcher vif et moi même en dernier si tu arrives à les battre. Les règles sont simples, chaque combat est un duel, nous n’avons pas le droit de nous entretuer, le perdant sera celui qui sera hors combat, soit inapte au combat c’est à dire physiquement, soit par forfait, soit par un K.O., soit par un meurtre ou encore si celui-ci sort du cercle de combat dessiné par le public ici présent. Et enfin la règle la plus importante, en aucun moment pendant le combat, l’un des deux combattant ne pourra être aidé sous peine de disqualification et de déshonneur total. Ces règles te conviennes t’elles ? »

« Oui, c’est à dire que nous pouvons très bien nous blesser ? Je veux dire, nous utilisons nos vraies armes ? »

« Bien sur, du moment que décès il n’y a pas. »

« D’accord. »

« Très bien alors que les duels commencent ! »

Bakura et 8 de ses hommes se retirèrent du cercle en laissant devant moi un homme Raïken vêtu d’une simple tenue de cuir et armé de deux catanas. Il se lança sur moi en poussant un cris de victoire et en essayant d’abattre ses catanas sur moi, je fus surpris de voir à quel point cet homme était lent, je n’eus donc aucun mal à éviter son attaque en me propulsant derrière lui d’un geste ample et assuré. Je ne voulais pas me salir et me fatiguer dès le premier combat alors je le mit en joue avec Bahamut mon revolver pointé sur sa nuque, pris au dépourvu le pauvre n’avait pas dû comprendre ce qui venait de se passer et encore moins sur il était tombé, je lui murmurait alors :

« Rends toi ! »

Le guerrier lâcha ses armes, se retourna lentement vers moi et annonça assez fort pour que tout le monde entende :

« Je suis un Raïken, pas un lâche !!! »

Il saisit alors de sa ceinture un poignard et se jeta sur moi sans une once de peur, j’aurais dû me douter que ces guerriers ne se rendraient jamais, j’avais été faible de penser pouvoir gagner de cette façon, je ne commettrais plus la même erreur. Cette attaque surprise me pris au dépourvu et mon adversaire m’écorcha le bras gauche. Alors, d’un geste fluide et élégant je pris son arme avec la main gauche par la lame ( ma main gauche est protégée par Ifrit, c’est une pièce d’armure qui recouvre l’avant bras ainsi que la main.), d’un geste toujours aussi fluide je saisi Bahamut par les canons et frappa la tête de l’homme d’un coup puissant et assuré avec la crosse du revolver ( je venais de découvrir une nouvelle méthode d’utilisation de mon arme). L’homme s’étala par terre sans un bruit. L’assemblée fut surprise du résultat mais n’eut pas le temps de manifester celle-ci car déjà mon prochain adversaire s’approchait.

Celui-ci était armé d’une flamberge, il la magnait remarquablement bien et réussi à m’entailler légèrement les membres par trois. Ces blessures, bien que superficielles commençaient à me piquer un peu et j’imaginais mal la suite si je continuais à me débrouiller comme un pied contre chacun de mas adversaires. Enfin, le principal était de tester dans un premier temps la force de mas adversaire, constatant qu’ils étaient assez forts pour me blesser je décidais malgré moi de passer à la vitesse supérieure, je ne voulais pas le faire tout de suite pour ne pas dévoiler mes véritables capacités mais ces bougres étaient trop forts. En pleine possession de mes moyens je fis quelques mouvements très rapides et tira dans les bras de mon adversaire. Celui-ci rendu inapte à se battre je pouvais affronter les suivants.

[Trente minutes plus tard.]

J’avais réussi à terrasser tous les sous fifres de Bakura non sans mal grâce notamment à mon formidable revolver, et avais pu récupérer plusieurs estafilades à différentes parties de mon corps, celui-ci me brûlait et entravait mes mouvements mais je devais gagner coûte que coûte.
aussi à cause du faite que j’avais mis hors combat un de mes adversaire en entaillant assez gravement le torse. Grâce à ces nombreuses victoires d’affilées certains membres du public commençaient à prendre mon parti et même m’encourager silencieusement. C’est alors que Bakura entra dans le cercle avec son arme quelque peut insolite, ce devait être le seul à maîtriser une telle arme dans la caserne. En effet il tenait avec ses deux mains une lourde bardiche capable de trancher n’importe quoi. Cette arme peu commune était redoutable et très difficile à magner, en effet cette longue arme de la catégorie des armes d’hasts possède une grande lame incurvée permettant une plus grande fluidité des mouvements et surtout, une plus grande zone d’attaque.

Spoiler:

Bakura s’avança jusqu’à se tenir devant moi en tenant fièrement son arme meurtrière. Il lança alors :

« Je n’aurais aucun honneur à te battre. »

[ La suite est en cours d'écriture]

J'ai eu peur en regardant le début de ta présentation, j'ai vu flingue/militaire/Raïken je me suis dit que tu n'avais rien compris.

J'ai eu peur aussi en voyant le nom d'Ifrit qui n'a rien de Japonais ou d'Allemand...

Mais tu m'as finalement rassuré avec la première partie de ton histoire ou tu expliques bien qu'utiliser un fusil est quelque chose de déshonorant aux yeux des Terkals.

Mais c'est la que c'est le drame !

Citation :

« N’oubliez pas que notre cible restent les Terkals, alors profitons de ce chaos pour les exterminer, et profitons aussi de cette situation pour rapporter cette créature chez nous. Kaïtos je t’autorise à te servir de ton revolver pour tuer cet animal. »

L'honneur Raïken les interdit de profiter d'une opportunité comme celle-là. Au pire, ils pourraient aider mais dans ce cas la, ils regardent juste le combat.
Pourquoi ? Car les Terkals refuseraient de l'aide et les Raïkens respectent cette philosophie.

Ensuite, un Bahamut ne te fouillera pas les poches et ne te donnera pas de pistolet coincé entre ses écailles.

Mais mon moment favori c'est le procès..

L'honneur de Yoshi il n’est pas bafoué, c'est le tiens qui est plus bas que terre. Tu devrais te suicider ne serait-ce que pour avoir eu l'idée de leur tirer dessus.
Alors imaginer que des juges seraient cléments à ton égard ? Tu rêves
Imaginer que tes camarades te comprendraient alors que tu as complètement déshonoré toute ton unité en tuant les Terkals et en blessant tes camarades pour sauver... Un animal ?

Non je suis désolé ce n’est pas possible.

C'est simple en l'état tu as quasiment tout à changer.

Je comprends bien tes arguments, je réécrit donc l'histoire mais je garde le fait que Kaïtos utilise un revolver et je garde sa description. Je vais totalement remanier mon histoire en espérant que cela convienne mieux aux exigences des Raïkens et aux tiennes bien sur.

Pour Ifrit c'est le nom d'une chimère dans les final fantasy ( japonais), mais je peux modifier si ça pose un réel problème.

Suite de l'Histoire:

Avant de se lancer dans l’action j’examinais Bakura, je pouvais voir qu’il était vêtu d’une légère côte de maille et d’un veston bleu marine, il avait des chevaux long, noirs et attachés en chignon, et autrement c’était un Raïken quoi. Ses yeux fixaient fermement les miens, le combat allait bientôt commencer, mon corps tremblait autant d’excitation que de douleur alors que lui était inflexible.

Soudain, sans prévenir il se lança d’une bon et abatis la lame de son arme vers moi, à cause de la douleur qui me tenaillait je ne pouvais esquiver, par réflexe je tendis mon bras équipé de Ifrit pour me protéger. La lame percuta violemment Ifrit et de ce fait mon avant bras, j’avais vraiment crus que mon bras s’était déboîté à cause de la violence de l’impact, mais ce qui me fis le plus peur c’était qu’il réussisse à me couper le bras. La surprise fit place à la douleur en voyant que le côté de la lame de la bardiche ayant percuté Ifrit était devenu émoussé alors que mon brassard était seulement égratigné, c’était donc cela la résitance de l’alliage fait de la matière d’artefact et de métal, impressionnant.

Bakura voulait sûrement en finir le plus vite possible car il répéta ses assaut en faisant des mouvements amples et majestueux bien que fatigants et inutiles. Mais malgré cela il prenait doucement l’avantage sur car je ne faisais qu’esquiver ou bloquer avec Ifrit ses attaques, de plus mes blessures commençaient vraiment à me faire mal, je devais en finir au plus vite sous peine de honte éternelle. Ainsi tout en contrant ses insatiables attaques, je me mis à tirer avec Bahamut en visant ses membres du mieux que je pouvais. Malheureusement pour moi le bougre était terriblement habile et rapide, ils évitait toutes les balles et bloquait avec sa bardiche celles qu’il ne pouvait éviter. C’est alors que il asséna un coup monstrueusement puissant sur Ifrit, ce qui brisa mon bras et tordit mon arme de corps à corps. Ce coup m’avais projeté presque à la limite du périmètre de combat ce qui me mettais en fâcheuse position, je décidais donc d’employer le tout pour le tout, je me relevais avec difficulté et chargeais mon revolver d’une façon bien spéciale, pendant ce cour lapse de temps Bakura m’annonça :

« Je dois dire que tu m’étonne, tu très résistant et très combatif je t’en félicite, malheureusement, pour toi tout s’arrête ici ! »

Il s’élança alors vers moi avec une extrême rapidité, c’était l’occasion pour tester la capacité spéciale de mon arme, trois balles en même temps. Quand Bakura fut à bonne distance, mes trois balles fusèrent en trois directions différentes, une au centre, une à droite et une à gauche, Bakura se mangea celle du milieu en pleine épaule de son bras fort, ce qui arrêta de suite sa course. Ne pouvant plus contrôler son arme Bakura fut déclaré inapte et il fut disqualifié. Ainsi il avait reconnu ma valeur publiquement et était reparti couvert de honte, alors que moi fier et heureux je m’étais dirigé tant bien que mal vers l’infirmerie de la caserne. Ce petit combat non autorisé était néanmoins parvenu aux oreilles de certaines femmes Raïkens importantes dans les prises de décisions, j’avais donc, grâce à une autorisation spéciale eu le droit de porter un revolver.

Le rêve.

Deux ans plus tard, à l’âge de 21 ans j’avais quitté l’armée pour deux raisons, la première étant que le temps était venu pour moi de réaliser mon rêve et la seconde est que certaines personnes trouvaient encore des choses à dire sur le fait de se battre avec un arme à feu et mes exploits contre Bakura et sa bande n’étaient qu’un coup de chance et blablabla et blablabla. Bref le temps était venu pour moi de me barrer et de trouver un bateau pour partir à la découverte des créatures de ce monde.

C’est dans un port non loin du bastion de Jade que je vis ce que je voulais, une magnifique petite jonque céleste était à vendre, je me lançais alors vers celui qui la vendait avec ma bourse pleine d’argent espérant avoir assez pour acheter cette merveille « flottante ».

Spoiler:

Votre personnage possède t-il son propre vaisseau ? Mon personnage aimerait grandement posséder son propre vaisseau, comme décrit ci-dessus ce serait une simple petite jonque lui permettant de parcourir les mers à la recherches de créatures célestes à recenser dans son recueil.

Voila j'ai édité et refais une histoire totalement différente, en espérant convenir.

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PS: Pas de bateau par contre pour le moment.
PPS: On écrit Katana et pas Catana ^^