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 Yagura ¤-» Heishi Kanzen

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Heishi Kanzen


Heishi Kanzen


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MessageSujet: Yagura ¤-» Heishi Kanzen   Yagura ¤-» Heishi Kanzen EmptyMar 11 Mai - 7:55

— HRP —

Âge : On s'en fout toujours, non ?

Comment avez-vous connu AR ? On m'a dit « Arsiesys a défoncé Kuran sur ce forum ». Alors je suis venu voir !

— RP —
Nom : Kanzen. (完全 parfait)

Prénom : Heishi. (兵士 soldat)

Âge : Vingt-sept ans.

Culture : Raïken un jour, Raïken toujours !

Profession : Stratège militaire officiel de la Kahn.

Armes : Tout d'abord vient Skeith, une lance extensible qui fut autrefois la propriété de son défunt frère. Heishi ne l'obtint qu'au décès de son jumeau et en fit son arme de prédilection, malgré la diversité des maitrises qu'il pouvait en avoir et son manque de goût pour les armes d'hast. En plus d'être un précieux souvenir, il s'agit d'un excellent ustensile à la forme aérodynamique et au poids finement calculé afin que pas un gramme de trop ne vienne entacher la beauté des mouvements de celui qui s'en empare et l'utilise à des fins guerrières. On la reconnait avant tout par le matériau dans lequel elle est fait, difficilement reconnaissable en plus d'être indestructible pou presque en apparence, mais aussi pour sa couleur peu discrète. Ce car toute sa surface est d'un rouge vif loin de passer inaperçu aux yeux de l'ennemi, ce qui fit la réputation du détenteur de cette hampe, désormais affublé du surnom d' « Écarlate » tant pour cette particularité que pour tout le sang qu'ils firent verser de concert. Et ce que ce soit au travers des directives ou de sa propre main... À noter que la pointe de ce fabuleux ustensile martial secrète un poison recueilli sur une espèce rare de scorpions géants du désert bordant Arkady et que chaque goutte est d'un effet foudroyant. Il est dit que chaque coup en transmettant peut donner la mort mais que le treizième assassine à coup sûr, apportant le malheur sur la cible comme le laisse entendre son chiffre. Nombreuses sont les fines gravures dorées courant sur sa surface pour relever son aspect aussi noble qu'elle est mortelle pour ceux qui s'opposent à sa grandeur.

Ensuite vient Macha, du nom de feu sa mère. Plus que d'une réelle vertu offensive, il s'agit ici d'une défense, une protection enchantée que celle que l'on appelait la « poussière de diamants » céda à sa progéniture avant de périr en usant des pouvoirs magiques qu'elle avait su collecter tout au long de sa vie. Il est ici question non pas d'une arme mais d'un mécanisme ensorcelé, d'un enchantement se faisant bouclier quand la situation l'exige et que croit le danger. S'il ne peut attaquer avec cette ultime ressource, Heishi ne peut que plaindre ceux se jetant sur lui tête baissée et se voyant réverbérer la virulence de leurs attaques par la violente réflexion que leur offre alors cet impromptu rempart à la solidité plus qu'effrayante pour qui n'y est pas habitué. À moins d'y avoir été préalablement autorisé, nul ne peut approcher de trop près celui qui en porte les effets, sans quoi il rencontrera en voulant entrer dans son périmètre l'abrupte résistance d'une paroi scintillante. Cette sphère mystique semble faite d'une matière approchant le cristal, d'après la texture ressentie à son toucher et la luisance que l'on peut apercevoir pour peu que l'on y prête attention durant ses manifestations souvent écourtées par l'énergie que nécessite le déploiement continu d'un sortilège de cet ampleur. Ainsi, le tacticien est doté à la fois d'une excellente attaque sans pour autant se découvrir à hauteur de la défense, puisque cette dernière se voit renforcée sensiblement par la possession de pareil artifice. À savoir qu'à ce jour les seuls à avoir été capables de passer ce barrage ont du s'y mettre à quatre et qu'il s'agissait en prime de guerriers d'exception. Autant dire que peu nombreux seront ceux à pouvoir le franchir...

Comment parait votre personnage la première fois qu'on le rencontre ?

D'une beauté aux traits fins qui souligne ses nobles racines, myope est celui qui ne reconnait pas en lui un haut dignitaire dès la première vision, que ce soit en le dévisageant ou en scrutant à la fois tenue et maintien. La noirceur d'ébène de sa chevelure, assortie de reflets délicatement bleutés, ne peut que faire ressortir la profondeur céruléenne de ses iris en plus d'encadrer la légère rondeur enfantine de son visage. Si des ailes avaient pu lui pousser, sans doute aurait-il pu sans problème passer pour un Zéphyr tant la finesse imprègne son apparence, diaphane par nature... Ou du moins est-ce ce qu'il veut laisser penser à son égard. Ce qu'on peut lire dans son être est une terrible assurance que nul ne peut faire flancher, travaillée au fil des batailles et ciselée dans le sang et la sueur au point d'en devenir permanente et d'entourer son être à la manière d'un manteau de ténacité. Son aplomb ne pourrait que faire pâlir les vétérans les plus braves car plus encore qu'eux il peut parfois sembler intouchable. Continuellement sur ses gardes, il n'en faut que peu pour lui faire dégainer son arme et interrompre net tout geste suspect en sa direction s'il le faut, à moins qu'il ne daigne estimer la situation sous contrôle sans avoir à recourir à son maniement.

Changé en arme par une formation soutenue, il n'est pas obligatoire pour lui de la sortir à chaque fois qu'il en vient aux mains, même s'il le fallait plus qu'il ne le faudrait en règle générale afin de parfaire son apprentissage de sa délicate manipulation. D'une grande prestance, il s'exprime toujours avec pragmatisme et il émane de lui un charisme ne manquant pas de charmer l'auditoire quand le grand orateur qu'il est prend la parole publiquement, ce qu'il ne fait pourtant qu'en de rares exceptions car étant plutôt taciturne de nature.Aussi ne manque-t-il pas de garder le silence quand la nécessité ne se fait point sentir de se faire remarquer par les mots, préférant de loin les agissements aux discours inutiles puisque bien souvent plus significatifs, à moins qu'il ne s'agisse de troubler l'esprit d'un potentiel adversaire par quelques tournures méticuleusement choisies. Il n'en est pas moins amical mais peu doué dans les relations humaines, en étant exclu par la force des choses depuis de nombreuses années. La stratégie s'applique tant par les corps qui se rompent et les lames qui se heurtent que par de fourbes dialogues parsemés du venin de qui les crache.

D'une précise méticulosité dans tous ses gestes, il n'est que trop rare de le voir commettre une tierce maladresse et ce même dans les exercices les plus ardus tels que l'utilisation d'une aiguille de couture ou d'autres exigeants minutie et patience, qualités qu'il a su développer de même que l'écrasait le poids des ans. Ce qui le caractérise au mieux est sans conteste une intelligence si abusive qu'elle peut parfois en être malsaine, que ce soit pour lui ou son entourage direct tant ses fruits peuvent parfois être retors, à contrario de la figure angélique qu'arbore l'intellectuel en surface. Un visage d'une beauté juvénile pour un guerrier habile, constamment laissé sur le qui-vive et que les surprises les plus fourbes ne sauraient déstabiliser même avec toute l'habileté du monde et en étant prévues pour ce faire. Un sang-froid à toute épreuve que nul n'a su faire bouillir par le passé depuis qu'il s'est montré à la hauteur du poste qu'il occupe, véritable fierté pour l'aristocrate qui fera tout ce qui est en son pouvoir pour légitimer le port de ce titre. Aussi, qu'on ne se fie pas à son allure frêle et infantile, c'est encore le meilleur moyen de finir pris dans les abysses purpurines de la valse mortelle qu'il exécute avec grâce une fois son arme détenue. À vos risques et périls...

Histoire :

Je vis le jour en compagnie d'un frère jumeau. Dès ma plus tendre enfance, je savais déjà que son destin serait lié au mien et ce même si nous ne nous entendions pas toujours. Parce que même avant de venir au monde, nous étions déjà en symbiose et que je savais que cette harmonie des longueurs d'onde ne nous quitterait jamais vraiment même si nous l'avions voulu. Et si les disputes étaient monnaie courante comme dans la plupart des fratries, nous finissions toujours par en revenir à une fraternelle camaraderie que je savais d'une importance capitale malgré mon manque de maturité de l'époque. Nous nous entraidions dans tout ce que nous entreprenions et dès le début des études que la largesse financière de la famille pouvait sans mal nous payer, nous nous aperçûmes que nos prénoms étaient bien mal attribués, lui préférant les activités physiques alors que je me réfugiais dans les livres dès que l'opportunité s'en présentait. Or, d'après nos identités, j'étais le « soldat » et lui le « stratège ». Quand je lui fis part de cette découverte, nous ne manquâmes pas d'en rire tant c'était absurde d'être ainsi radicalement opposés tant dans nos patronymes que dans nos centres d'intérêt.

Mais il était certains qu'ils convergeaient vers un point commun, celui de la Guerre qui nous tendait les bras et ce depuis nos plus jeunes années. Nous étions à la fois obnubilés et terrifiés par ce fléau dont ne pouvait se défaire la nation et voulions prendre part à un conflit ou notre jeunesse n'avait pourtant pas sa place, et ce en allant jusqu'à faire l'ignoble vœu que la lutte ne s'arrête pas avant que ne puissions accéder à une participation dévouée. Très tôt préparés à guerroyer, nous apprîmes à manier de nombreuses armes au point de pouvoir tuer un homme pourtant bien préparé avec n'importe laquelle de celle que nous avions pu apprendre à dominer. Et si mon frère était très doué avec chacune d'elles, j'avais pour ma part certaines difficultés une fois qu'on me mettait une lance ou autre hallebarde entre les mains, et tous les efforts de mes mentors n'y changèrent rien : j'étais incapable d'en avoir la pleine maitrise. En revanche, quelques cours théoriques prouvèrent que ma tête était bien mieux faite que celle de mon frère et que mon quotient intellectuel me prédisposait à la conception de plans de bataille, même si l'art de la guerre et la stratégie étaient encore des notions fort subtiles pour moi qui venais tout juste de pénétrer dans ce milieu plus cruel que je ne pouvais l'imaginer. Jeunes et ignorants, nous étions prêts à nous jeter tête la première dans le capharnaüm des luttes armées pour s'y faire une place et un nom et dorer plus qu'il ne l'était le blason de notre famille comme les dignes héritiers que nous voulions être pour plaire à nos parents, attentifs à nos progrès.

... ... ...

Mais survint alors un problème de taille qui coupa net notre enthousiasme pour nous ramener à notre cercle familial afin d'y traiter d'un problématique sujet. Sans que nous ne nous en rendions compte, notre mère était gravement malade et n'en avait laissé paraitre les affres à aucun moment afin que nous puissions nous concentrer sur notre instruction et pas sur ses défaillances, ainsi camouflées. Nous l'admonestâmes de n'avoir dit mot de ce mal qui la rongeait mais il était trop tard pour l'endiguer et avant que nous n'ayons pu agir pour la sauver, nous nous retrouvâmes tous ensemble autour de son lit de mort tandis que sa mort pouvait surgir d'un instant à l'autre et déposer sur elle le noir linceul du passage de vie à trépas. Mais à l'article du décès, elle parvint à contrôler les pouvoirs magiques qu'elle nous avait cachés tout en nous livrant une brève explication qu'elle estimait nous devoir. Et ce fut ici que s'injecta entre nous le fléau de la jalousie car ce fut moi que ses doigts touchèrent en premier avant de se raidir puis de tomber avec le reste de sa main, désormais inerte. Elle voulait nous faire à tout deux un cadeau qui nous protègerait de la dureté des querelles aussi bien que pourrait le faire notre père si ce n'est mieux mais je fus le seul à le recevoir.

Ayant surestimé ses forces restantes, elle n'avait pu en gratifier mon frère et le malaise s'instaura, même si aucun de nous ne fit de commentaire sur cette préférence factice que j'étais le seul à comprendre, lui n'y voyant que du favoritisme. Et je sus dès lors que cela nous causerait des problèmes que nous devrions régler dans le feu d'une rixe comme on nous avait appris à le faire, et me mis à redouter cette fatidique échéance chaque jour un peu plus. Notre géniteur périt à son tour lors d'une escarmouche moins d'une semaine plus tard, nous laissant seuls et démunis dans une difficulté de communication grandissante qui passa sans plus tarder à l'austérité, puis au dédain et finalement au mépris. Il ne pouvait plus me supporter et j'avais fini par le lui rendre tant sa méchanceté envers moi dépassait les limites, ses frondes surmontant mon calme olympien pour s'en prendre à mes nerfs légèrement trop fragiles à l'instar de ceux de mère. Nous qui nous complétions autrefois lorsque nous étions au front entretenions désormais malgré nous une rivalité perverse en ce qu'il n'était pas rare que nous ignorions tout de la sécurité de l'autre pour porter nos coups, le plus souvent esquivés de justesse ou égratignant par dommages collatéraux.

Nous nous moquions du devenir de l'autre et finîmes par nous retrouver face à face après avoir longuement sillonné le champ de bataille le plus sanglant que nous ayons connu; celui où nous étions devenus des « Ravageurs » parmi les dix que connaissait notre terre natale au cours d'une collision plus sauvage que les autres. Et si nous étions déjà ébranlés par les combats que nous avions du livrer, nous savions tout deux que le soleil couchant qui nous contemplait était l'arbitre du duel à mort qu'il nous était promis de livrer. Nous multipliions alors les bottes et techniques, tout notre art étant mis en exergue par nos dernières forces jusqu'à ce que je sois obligé d'éviter un coup qui m'aurait été mortel en ripostant par un autre qui le serait tout autant. Tombé au sol et surplombé par le corps soudain affaissé de mon jumeau, je lui expliquais de ma voix basse et secouée par les larmes que mère avait voulu nous protéger tout deux au jour de sa mort mais n'en avait pas eu le temps, ce qu'elle m'avait confié à l'oreille à moi seul en me faisant promettre de ne pas le répéter, même pas à lui. Regrettant son erreur et son envie malsaine, il décida de me léguer sa lance dont il n'aurait de toute façon plus l'usage dans l'au-delà. Un cadeau de la Khan en personne, dont nous étions les favoris depuis l'épisode tragique sur le domaine duquel nous avions empiété pour en finir une bonne fois pour toute. Skeith. Désormais, elle était mienne, et sur une dernière parole me disant que j'aurais de quoi m'entrainer à contrôler ce type d'arme dorénavant, il s'éteignit à son tour.

Ma famille n'était plus. J'étais seul au monde.

... ... ...

Je trouvais en la Khan une seconde mère après lui avoir rapporté ces faits en excluant les détails gênants afin de justifier la détention de la formidable arme qui m'avait été remise, et qu'elle m'accorda de garder, la valeur sentimentale qu'elle avait ne pouvant être ôtée. Et puis elle avait été façonnée sur mesure et seul moi qui lui étais semblable en tous points saurait rentabiliser pleinement sa fabrication. Mais en échange de ce généreux cadeau me fut faite la proposition de travailler pour elle, agissant dans l'ombre en ma qualité d'assassin. De ce que j'en savais, mes dons pour la stratégie lui avaient été rapportés et je devins très vite son favori, noyant mes émotions dans une charge de labeur toujours plus grande. Et plus elle croissait, plus je m'y perdais jusqu'à ce que cela devienne mécanique et fasse de moi une machine inémotive occultant son cœur au profit de son efficacité. Un engrenage de chair et d'os programmé pour servir avec dévouement.

Je me savais exploité mais cela m'était égal, elle me portait l'attention que je ne pouvais plus avoir et s'intéressait à moi plus que quiconque maintenant que j'étais privé de famille. Aussi lui étais-je redevable et voulais-je lui rendre la pareille par mes menus services, ce que je faisais chaque jour. En parallèle, j'entrais alors au Soroshiya une fois que ma loyauté lui eut été prouvée par de nombreuses missions périlleuses qui m'apprirent à m'endurcir en plus de parfaire ma renommée auprès de mes pairs, que ce soit pour mes faits d'armes ou mes aptitudes au combat. J'étais connu et adulé parce que j'étais proche d'elle, je le savais, et nul sinon elle, moi et les quelques intermédiaires n'avait connaissance de ce double-jeu qu'était de jongler en permanence entre mon poste d'agent de l'ombre et celui de conseiller de sa seigneurie. Mon chiffre était le huit et le surnom que l'on m'avait attribué se résumait à quatre lettres dont je ne comprenais pas la signification : « Kanô ». Mais qu'importe. Cette vie me convenait. Au moins pouvais-je me sentir utile, et même si cela devait me damner, j'étais prêt à tout pour la préserver, elle ainsi que moi tel que j'étais désormais.

Longue vie à la Reine.
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Kuran Sôen


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MessageSujet: Re: Yagura ¤-» Heishi Kanzen   Yagura ¤-» Heishi Kanzen EmptyMar 11 Mai - 10:10

On t'a menti, au revoir.
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Heishi Kanzen


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MessageSujet: Re: Yagura ¤-» Heishi Kanzen   Yagura ¤-» Heishi Kanzen EmptyMar 11 Mai - 16:13

Mytho !
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Stilgard Jarlasøn


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MessageSujet: Re: Yagura ¤-» Heishi Kanzen   Yagura ¤-» Heishi Kanzen EmptyMar 11 Mai - 16:49

Ça fait chier à dire, mais tu es à nouveau validé.

Ton nouveau login pour ta fiche est Heishi Kanzen. Ton mot de passe n'a pas changé.
Bon RP sur Artefact! (la phrase bidon, on sait bien que tu vas rp comme une bille de toute façon :p)
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Kaïtos


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MessageSujet: Re: Yagura ¤-» Heishi Kanzen   Yagura ¤-» Heishi Kanzen EmptyMar 11 Mai - 19:47

Désolé pour ce matin xD
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MessageSujet: Re: Yagura ¤-» Heishi Kanzen   Yagura ¤-» Heishi Kanzen Empty

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