[Quête]Un peu d'EAU fraiche et de verdure, entamons une quête, couleur rose de l'aventure

"Merde, c'était chaud......bon maintenant j'espère que tu vas nous enlever cette couleur rose de notre peau et nos fringues"

Ah ah ah, je m'en souviens, c'était il y à deux ou trois jours? Je ne m'en souviens plus, le temps passe tellement plus vite avec un clown à bord. Viral avait demandé à ce pauvre bougre de Styck de lui enlever notre si seyante couleur rose; notre pauvre capitaine argonate n'avait bien évidemment aucune compétence en magie, et demanda alors au Valkor, soit dit en passant qu'il était quelque peu sur les nerfs, s'il voulait de l'acrylique ou de la gouache. Vous devinez la suite, j'ai été "obligé" de lancer un sort pour projeter Viral loin de notre capitaine. Un peu trop brutalement, peut-être? Bah, tant pis. Nous passâmes ensuite le plus clair de notre temps à sévertuer à enlever notre couleur rose. Viral était plus terre à terre et tentant d'arracher la couleur, avec des brosses en poils de je ne sais pas trop quoi. Moi, je tentais d'enlever la couleur par magie, et il faut dire que mon compagnon faisait un excellent cobaye. Il avait une telle envie de s'en débarasser qu'il me fit à nouveau confiance. Ou il en avait marre de la vie, je ne sais pas... Le résultat, c'est qu'en commencant par les sorts les plus classiques, j'ai réussi à le rendre invisible pendant toute une matinée, puis à lui faire apparaitre des taches vertes qui ont disparu peu de temps après.Fiasco total, donc. Mais c'est en testant de nouveaux sorts que les résultats furent les plus catastrophiques. Le sort le plus amusant fut sans conteste quand des plumes de canard apparurent sur Viral. D'ailleurs, au moment ou je vous écris mes mémoires, il doit toujours me haïr de lui avoir fait pousser un bec, je lui avait pourtant dit qu'il manquait un petit quelque chose:il eut donc droit à la danse des canards en boucle pendant toute une journée, chantonnée par moi, le temps que les effets se dissipent. Bon, cela fait plusieurs heures que je n'ai pas posé le pied par terre, de peur de sa réaction. Tiens, apparemment, il ne fait plus attention à moi. Ah! Il se retourne, mais attends, qu'est-ce que c'est que ce regard noir! Aaaaaaaaaah...

Quoi qu'il en soit, nous dûmes remonter au niveau des nuages pour faire le voyage jusqu'aux terres brulées. Et voila ou nous en sommes maintenant, en train de naviguer sur la mer ardente. Mais quel spectacle magnifique! Je passai alors le plus clair de la journée la tête dans les nuages, littéralement, à planer autour du vaisseau, ou allongé sur le dos à contempler le ciel, véritable brasier permanent. C'est des moments de contemplation comme ceux là qui font que la vie vaille la peine d'être vécue. Et aussi la dispute quotidienne entre Viral et le cuisinier de bord qui a interdit tout alcool à bord du vaisseau.
Je me mis à ma position favorite sur le pont pour admirer le spectacle de Viral se facher rouge et jesticuler dans tous les sens face au cuisinier de 150 kilos. Tiens, j'avais une envie subite de lui pomper l'air, j'amplifia alors ma voix par magie:

Il en fauuut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux, il faut se satisfaire du nécéssaire, padamm padamm tamm! Un peu d'EAU fraiche et de verdure, pour entamer une quête, couleur rose de l'aventuuuuure

Bon, je m'envole, il à encore l'air d'avoir envie de me frapper.

Je déteste le rose, déjà quand j'étais gosse j'avais une aversion naturelle pour cette couleur mais là ! Je sens qui si je revois quoi que ce soit de cette maudite couleur je vais faire un carnage. Après moultes tentatives infructueuses pour enlever ce que ce Zéphyr nous avait, dont une qui nécessita son intervention pour éviter qu'il y ait mort d'hommes parmi son équipage, fait j'ai dû au final me contenter de son aide. Enfin aide, j'avais plus l'impression d'être un rat de laboratoire qu'autre chose, mais bon je dois être honnête si j'avais su avant ce qu'il me réservait comme traitement et comme légère erreurs j'aurais préferré ne jamais demander son aide. Bon le coup de me rendre passait encore, même si j'aurais aimé que les rôles soient inversés pour ne plus voir la tronche de cake de ce type. Vinrent ensuite de nombreuses taches vertes qui recouvrèrent mon corps me donnant un air encore plus ridicule. J'ai d'ailleurs failli me suicider tellement mon état me déprimait. Ce qui mit le feu au poudre fut ma transformation éclaire en gallinacé. Vous m'avez bien entendu cet idiot m' transformé en abération couverte de plume et muni d'un bec ressemblant à si méprendre à un canard géant. Pour ne rien arranger cet idiot se mit à chanter en boucle la danse des canards pendant des heures et de heures alors que je me planquait dans mes quartiers. Il allait me le payer. Je suis du genre rancunier et je contre-attaque vite et fort........mais avant tout il fallait que je sois débarrasser de cette apparence !

Le lendemain, j'étais enfin débarrassé de cette apparence ridicule, les plumes qui me recouvraient étaient tombées et formaient désormais une sorte de tas au pied de mon lit. Ajoutant cela à ce que contenait les oreillers, j'avais de quoi me venger de lui. Je devais juste ramener le fut que j'avais vu en me faufilant dans la cave sur le pont et voila. Je n'ai pas eu de problème à le ramener avec moi, j'ai pris quelques couteaux au passage et une corde, la plus longue que j'avais sous la main. Des sacs plein de plume sur le dos il ne manquait plus que ma cible qui s'amusait dans les nuages depuis quelques jours, en partie car il aimait ça et en partie pour me fuir. Et maintenant le cuistot qui s'en mêlait, non mais il se prend pour qui ce gros tas. Pas le temps de discuter avec lui l'autre piaf m'a vu et est sur le point de se faire la malle !

"Tu vas nulle part Zephyr ! J'ai un compte à régler avec toi, et il y a quelques intérêts !"

Maniant la corde tel un lasso d'une extrême dextérité j'ai pu attraper ce gros piaf et le ramener de force d'un coup sec le faisant s'écraser en partie sur le pont de son propre vaisseau. Il se releva et tenta de couper rapidement la corde avec une dague.

"Ah ça non ! Tu vas pas me quitter si rapidement, pas avant que je ne te fasse essayer ce manège de ma fabrication. Et c'est parti pour une toupie."

Sentant venir les ennuis tous les membres d'équipages partirent se mettre à l'abri alors que je commençait ma rotation. Tourner sur moi même et en faire voir des vertes et surtout des pas mûr à ce Zephyr était un jeu d'enfant. J'ai dû faire une trentaine de tours comme ça avec lui qui hurlait à la mort avant de passer à la partie suivante de son châtiment. Je l'ai lâcher et envoyer valdinguer droit sur le tonneau remplit d'une mélasse quelconque qui le recouvrit entièrement des pieds à la tête. Et oui c'était régime goudron et plume pour Ameth aujourd'hui, j'ai bien évidemment rajouté la touche finale après ça.

"Et bien mon gros poulet, j'ai une petite faim pas toi. Je t'invites à déjeuner, allez j'insiste" Dis-je tout en ricanant alors qu'Ameth me regardait d'un air complètement désespéré "C'est l'heure de passer à la broche !"

Heureusement que j'étais un as dans le lancer de couteau pour la suite car sinon tout cela aurait pu finir très très mal, surtout pour Ameth. Pour faire simple je l'ai cloué au mur avec les quelques couteaux que j'avais emprunté avant de m'en retourner satisfait vers ma chambre lâchant quelques ultimes paroles au passage.

"La prochaine fois que tu loupes un sort, fait le sur quelqu'un d'autre. Si tu refaits une seule erreur comme celle d'hier je te trancherais la gorges durant ton sommeil avant de balancer ta carcasse en petits morceaux aux ordure."

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"La prochaine fois que tu loupes un sort, fait le sur quelqu'un d'autre. Si tu refaits une seule erreur comme celle d'hier je te trancherais la gorges durant ton sommeil avant de balancer ta carcasse en petits morceaux aux ordure."

C'est toi, l'ordure, marmonai-je.Tu vas me le payer, enfoiré, je n'ai pas besoin de bouger pour utiliser la magie.

Juste avant qu'il n'aille dans ses appartements, j'eus le temps de lui lancer un sort aléatoire dont j'avais le secret, et une minute plus tard, je l'entendis hurler à la mort tout en lançant une bordée d'injures. Apparemment, il s'était regardé dans la glace et n'avait pas apprécié de voir son nez changé en groin. Je devais à tout prix me protéger pour éviter les représailles: je lançai donc deux sorts basiques à la suite. Tout d'abord, un pour détacher tous les objets autour de moi; "comme par magie", le goudron, les couteaux et les plumes se déposèrent à mes pieds. Puis, j'invoqua une sphère d'invincibilité qui donnait des reflets bleutés autours de moi. Je sursautai alors quand les couteaux de toute à l'heure se fichèrent dans la sphère... au niveau de ma tête, à 50 centimètres! Cette enflure était donc vraiment impulsive au point d'essayer de me tuer sur un coup de sang. En colère, j'envoya une vague de magie qui envoya Viral valser dans ses quartiers, puis referma la porte par magie. Un champ magique l'enfermera pendant une heure dans sa chambre, enfin la paix. Je m'envola donc pour retourner dans les nuages cramoisis de la mer ardente.
Quelque temps plus tard, je descendis sur le pont, préoccupé, pour parler au capitaine:

Styck, dis moi, avons-nous consulté la météo des terres brulées avant de partir à l'aventure?

Oh rien, c'est juste que si dans 10 minutes nous n'avons pas rejoint une île portuaire, nous serons pris dans une tempête d'environ hmmmm... 10, voire 11 beauforts.

10 minutes plus tard.
Le bateau tangue avec tellement de force que tous les marins sont projetés d'un bord à l'autre du navire. Les nuages prennent la forme de vagues et sifflent aux oreilles de tout le monde tandis que l'air se charge d'humidité. Puis un orage éclate, et des éclairs pourfendent le ciel toutes les cinq secondes, accompagnés d'une pluie si violente qu'elle pourrait tanner le cuir. Si je ne faisais rien, nous allions tous périr par ma faute, et surtout celle de Viral! Je me mis en tailleur puis réfléchis pendant 5 bonnes minutes. Le bateau tanguait de plus en plus, la pluie ruisselait partout sur mon corps, transperçant les vêtements. J'avais trouvé! Je me mis au milieu du bateau et levait mes mains au ciel. Des rafales soufflaient de part en part et certains membres de l'équipage volaient sur plusieurs mètres, heureusement que personne n'était tombé pour l'instant. Instant qui devenait critique d'ailleurs, je devais agir, et le sort que j'allais réaliser me demanderai une grande résistance. Une sphère d'invincibilité. Mais cette fois, elle devrait englober tout le navire. Je commençais l'incantation, puis la bulle grossit, grossit. Elle faisait déjà dix mètres de diamètre et continuait à s'étendre. A l'intérieur, plus de pluie, plus de vent, mais la pression du sort m'écrasait de plus en plus. Je commençais à trembler.

C'est ce moment que choisit Viral pour sortir sur le pont, le sortilège avait du se dissiper. Un grande rafale le fit voler, puis il fut prit dans un petit tourbillon au niveau du haut des mâts. La bulle magique le toucha, et la rafale se dispersa. Il tomba donc lourdement sur le pont, le visage ensanglanté. Pendant ce temps, j'avais l'impression de porter le poids du monde sur mes épaules, et suant à grosses goutes, les muscles saillants, je ne pus prononcer que quelques mots au Valkor,dans un souffle:

Nous sommes en plein ouragan, et notre capitaine vient de s'assommer.Je ne tiendrais pas longtemps. Dirige le bateau ou nous mourrons tous!

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Putain ma tête me faisait mal ! C'était quoi ce truc que je m'étais pris en pleine face, de la magie ?! Ameth, si ça continue je vais vraiment finir par tuer ce moucheron. Déjà qu'il m'avait enfermer de force avec un groin dans ma chambre et que le jour d'avant il avait manqué de peu de me transformer en canard, sans oublié tous ce qui s'est passé avant et en particulier le *sort d'invisibilité* qui nous avait rendu rose fluo depuis et maintenant cette masse de magie qui m'éclate le crane au point de me faire saigner. A côté de ce type les gardes et les pirates c'était le paradis ! Merde, Kaïtos où peux-tu bien être que tu surveilles ce cintré avec moi ? Bon par contre je dois dire que sur ce coup l'animal semblait être utile un minimum, créant une bulle grâce à sa magie il voulait faire passer son navire au travers de ces quelques perturbations sans encombres. Pas bête, suicidaire et fait sur un coup de tête mais il y avait de l'idée. Après tout je ressentais assez bien la magie même si je n'y comprenais que trop peu de choses et à vu de nez Ameth ne tiendrait comme cela qu'une dizaine de minute tout au plus.

Nous sommes en plein ouragan, et notre capitaine vient de s'assommer.Je ne tiendrais pas longtemps. Dirige le bateau ou nous mourrons tous!

"Tch, tu me traites comme de la merde et maintenant tu me demandes de l'aide? Tu ne manques pas de souffle et je n'ai aucune envie de le sentir, rien que d'y penser me donne des nausées. Ce que tu faits ne sert à rien, tu ne tiendra jamais jusqu'au port le plus proche et même pour un navigateur et capitaine aguérie comme moi sortir en entier d'une telle tempête avec une coque de noix comme la tienne est assez improbable. On peut déjà essayer de limiter la casse en enlevant les voiles pour éviter qu'il y ait trop de prises au vent et que le navire ne chavire à cause de cela mais ce ne sera pas suffisant. La seule solution qui est à notre disposition est la suivante......chasser de force la perturbation et je connais exactement le moyen qu'il faut pour cela. Lance moi vers le haut et rejoins moi en plein vol."

Le temps nous manquait et il fallait faire vite avec que le zephyr ne lâche sa barrière, prenant une grande inspiration après que j'eus donner mes directives à l'équipage il leva son sort laissant le vent se déchainer autour de nous. Attrapant mon bras et faisant la toupie en plein vol il m'envoya aussi haut que possible avant de me rattraper dans ma montée magnifique. Il prit ensuite mon bras et concentra autant d'énergie qu'il pouvait, étrangement je réussi à faire de même l'instinct de survie sans aucun doute à moins que ce ne soit lié une fois de plus à cet artefact qui nous a transformé. En tout cas l'explosion qui suivit fut des plus grandiose, créant en son centre un vaste espace de vide qui projeta au loin la perturbation qui laissa place à une douce brise. La magie elle même semblait avoir été soufflée comme une bougie car nos corps avaient retrouvés leur couleur d'origine, enfin! J'avais bien essayer de m'ouvrir les veines mais impossible que mes blessures restent ouvertes assez longtemps pour que je ne meure. Ameth semblait impressionner qu'une telle idée qui ne lui était même pas venue à l'esprit soit sortie d'un esprit comme le mien......Ceci soulignait bien son ignorance vis-à-vis des autres et le fait qu'il me sous-estimait grandement. Lui aussi avait un peu remonter dans mon estime même si nos comptes n'étaient pas encore tout à fait réglés. Dans ma descente Ameth rattrapa au dernier moment pour éviter une nouvelle explosion et dans un habile mouvement j'ai inversé nos rôles de façon à ce qu'il touche *terre* en premier si vous suivez mon idée. Et ce fut un magnifique écrasement faciale qui put être observer sur le pont du navire alors que l'équipage réparait les quelques avaries du vaisseau.

"Tu vois que tu peux te rendre utile, monsieur le paillasson."

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"Tch, tu me traites comme de la merde et maintenant tu me demandes de l'aide? Tu ne manques pas de souffle et je n'ai aucune envie de le sentir, rien que d'y penser me donne des nausées. Ce que tu faits ne sert à rien, tu ne tiendra jamais jusqu'au port le plus proche et même pour un navigateur et capitaine aguérie comme moi sortir en entier d'une telle tempête avec une coque de noix comme la tienne est assez improbable. On peut déjà essayer de limiter la casse en enlevant les voiles pour éviter qu'il y ait trop de prises au vent et que le navire ne chavire à cause de cela mais ce ne sera pas suffisant. La seule solution qui est à notre disposition est la suivante......chasser de force la perturbation et je connais exactement le moyen qu'il faut pour cela. Lance moi vers le haut et rejoins moi en plein vol."

Andouille, si tu ne m'aides pas, on crève tous les deux. Alors oui tu es une merde, mais c'est en s'alliant qu'on se sauvera les miches. Mon navire je l'ai vu, est plus grand que le tien, n'essayerais tu pas, en le traitant de coquille de noix, de compenser tes minuscules attributs masculins par un ton acerbe.

Je n'avais pas le temps d'attendre sa réaction ni de réfléchir que je suivis ses directives en le faisant tournoyer rapidement, libérant du coup la sphère de protection. Nous nous envolâmes puis nous rejoignîmes en haut du mat central. En se touchant encore une fois, et en rassemblant nos énergies, le souffle magique violet dissipa complètement la tempête. Incroyable. Ce gars la cache bien son jeu, sous ses airs de psychopathes, il cache en fait quelqu'un d'assez vif d'esprit et plein de *BRAFF*.
Ma tête était dégoulinant de sang, le crâne fêlé et une dent fendillée. Heureusement qu'un sort mineur suffit à réparer ce genre de désagréments. Dans un gargouillis dû au sang qui remplissait ma bouche, je déversais sur Viral un flot de paroles fleuries qui embaumait l'air d'un lirysme qui se mariait à merveille avec les nuages qui prenaient maintenant une teinte irisée, peut-être à cause de l'explosion de magie.

Me relevant difficilement, puis balayant de mon visage toutes les affections reçues, je marchai d'un pas décidé vers Viral, avec en tête un sort spécialement pour lui, un sort pour voir la vie en rose, hin hin hin. Un sourire sardonique se dessina alors sur mon visage. Mais l'équipage tout entier nous regardait et commençait à remarquer que la situation sentait le gaz. Deux gars costauds, dont Styck le capitaine, me prirent chacun un bras. Me débatant avec force, je lancai des imprécations à Viral. Il ne semblait pas touché le moins du monde, jusqu'à l'instant fatidique ou j'appuyai sur la corde sensible:

Saleté de pirate, espèce de méprisable cloporte, je te jure que je vais te faire devenir rose jusqu'à la fin de mes jours.

Il me semblait que c'était la première fois que je me mettais vraiment en colère. Viral se retourna et courut vers moi; cette fois c'était 3 marins plutôt costauds qui le prirent aux bras et à la taille. Nous étions à deux mètres l'un de l'autre, et l'air crépitait autour de nous. Des étincelles violettes apparaissaient sporadiquement tandis que les yeux violets de la magie et les yeux jaunes de la force de la nature se livraient un duel.Styck, qui était vraiment sage dans ses élans les plus inspirés nous fit la leçon pendant que nous nous débattions tous les deux en silence.



Nous étions abasourdis par une nouvelle si improbable qui nous faisait douter de la non-intervention des dieux dans le cosmos. Pour rajouter au surréalisme de la scène, un mousse qui se trouvait à tribord du pont cria la phrase bien célèbre:



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